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Encore une nuit passée à ne pas dormir, à penser, à réver et a imaginer. Encore une nuit ou j'ai sombré dans les bras de morphée sur les coups de 8 heures du matin, ou mon sommeil trouvat sa place de la lueur du jour jusqu'au premiers pigments osbcurs qui venais à assombrir les cieux . . . J'ai dormis toute la journée, mais ca ne fut pas un sommeil paisible car des cauchemars les plus grotesques ont hantés mon repos sans cesse et sans pitié . Pourquoi ces reves ? Quelles étaient leur signification ? Que voulaient ils me dire ?
J'était avec elle dans un endroit remplis d'ordinateurs ( sans doute un cyber cafe ou un quelquonque endroit munis de points d'accés internet ) en tout cas cet endroit ne me semblais absolument pas familier . Elle et moi nous sommes mise chacune devant un ordinateur, à ce moment là deux hommes sont entré dans la salle aux ordinateurs, deux hommes que je ne connaissait pas, parmis eux un asiatique ( dont je me souvient parfaitement du visage et de l'allure qui n'inspirais pas confiance ). Ensuite dans mon reve j'informe mon amie que je devais absolument passer par chez moi afin d'y chercher quelque chose ( je ne sait pas de quoi il s'ajissait ) toujours est il que je me dirigeais vers mon domicil et que la rue dans laquelle je marchais m'était totalement inconnue. Je marchais , et sur mon chemin se trouvais une sorte de garage ou d'entrepots occupé par des hommes étranges qui me fesait peur, ce pourquoi j'ai continué a marcher d'un pas de plus en plus pressant, je fut arretée par l'écroulement du sol sous mes pas et par le décor urbain qui se pixélisait subitement , c'est a cet instant que je decidait de faire revenir sur mes pas afin de la retrouver et ne plus etre seule dans cette situation effrayante. Je fis donc rapidement demie tour et là j'apercu devant l'entrepos que j'avais croisé quelques métres plus tot , les deux hommes du cyber cafe dont l' homme de type asiatique. Ils me regardais tout deux avec un sourir inquiétant aux lévres, là, la terreur pris le controle de mon corps car je fesait une certaine relation entre ces deux hommes et ceux de l'entrepot. Je n'ai put avoir le temps de réagir dans l'action qu'as ce moment là, dans ce reve, je me retrouvais enfin chez moi . . . devant mon pc. Tout était paisible et tout a fait normal, le calme avait repris place dans mon esprit, jusqu'a l'instant ou je tournais la tête vers la gauche et que je vis, avec stupeur, le visage déformé et translucide d'un spectre. De nouveau prise par la peur la plus profonde je me dirigeait vers la porte d'entrée qui était déja ouverte et le palier était ocupé par un homme qui priais à genoux, les mains jointes, dans son regards figé vers le plafond j'ai put deviner la detresse et la pitié, soulagée de voir cet homme je courais vers lui pour me jeter dans ses bras dans cet acte si soudain je le fit tomber a terre et sa tête se cognat violament contre le sol, événement qui causat sa mort . . . J'avais donc tué cet homme et à présent j'était seule dans cette folie qui me faisait perdre la raison et le contrôle de moi même. Je frappais donc a chaque porte dans le couloir avec l'éspoir de reveiller un de mes voisins pour trouver de l'aide, et j' hurlais de toute mes forces , en fesant ainsi chaques étages de l'immeuble, mais personne ne sortais de chez lui . . . Dans ma detresse, je tombais nez à nez avec le veilleur de nuit du bâtiment, une fois de plus ma quéte d'aide fus un echec, il me regardat d'un air désolé et s'en allat, je ne fis rien pour le retenir car la voie de ma mère appelant mon beau pére résonait de facon répétitive dans les couloirs, je suivais donc cette voie, guidée par celle ci, je me retrouvais dans une piéce qui semblait etre une cuisine et prés de la table , assis sur une chaise, en peignoir, se trouvais mon beau père, dans unes de ces mains il tenais un verre d'alcool ( du wisky je pense ) il était de dos, je m'avancais vers lui une fois de plus rassurée, il se retournat avec un sourir diabolique sur son visage et je pouvais voir qu'il tenais une sorte de pointe en métal d'une longueur aproximative de trente centimétres et je savais au fond de moi que ses intentions n'était pas de bonnes foies, je reussit a lui begayer quelques mots avant de m'enfuir , " alors ... Toi aussi tu veux ma mort n'es ce pas ? " . . .
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. . . Oh mon dieu ! J'ai ouvert les yeux ! Ce n' était qu' un mauvais rêve . . .
J'ai eu si peur ! Mais je suis toujours seule . . . je me rendors . . .
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Un chatons s'approche doucement de moi, il est si mignon, si doux, Il se blottit dans mes bras, je me sent si bien et entourée d'une aurat pleine d'amour . Je n'ai même pas le temps d'aprécier une seconde de plus ce moment angélique qu'un homme est derière moi et me touche la poitrine et le reste de mon corps de maniére insistante et génante, cela dure un bon moment avant qu' il décide de me retirer mes vêtements et de jouer avec moi comme si j'était une vulgaire poupée sans sentiments . Justement, dans ce nouveau rêve, c'est tout a fait ce que j'était, un corps, un jouet, qui ne bronchais pas et qui se soumettais en gardant sa douleur secrétement au fond de soi. Pourtant il me salissait et j'avais envie de vomir. Une fois satisfaction atteinte , il disparut et là mon téléphone sonnais. . . C'était ma mére qui avait l'air vraiment decue et en colère pour une raison que j'ignore à présent dans la réalité , en tout cas elle voulais me faire prendre consciance de quelque chose de vraiment important. Elle criait, elle pleurais et la discution pris fin. Par la suite mon téléphone sonnat encore mais cette fois ci c'était mon beau père, qui venais m'apprendre ma plus grande hantise. Le décés de ma mère !
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Tourmentée par une réel tristesse et une profonde panique je me suis reveillée
pour constater a nouveau qu'il s'ajissait d'un mauvais rêve
et pour me rendormir une fois de plus sans meme m'en rendre compte . . .
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Quel est cet endroit si grand et si sombre dans lequel je me trouve ? C'est vide . . . éclairé par quelques faisceaux de lumiére du soleil couhant qui glisse entre des bouches d' aérations placées de parts et d'autres des murs, en hauteur. Pourquoi cet homme s'approche de moi tout doucement ? Avec un air enchanteur comme si il tentais d' apater un enfant a l'aide de milles fantaisies et magies . . . Il me fait peur . . . Et cela d'avantage quand il m'anonce d'une voie douceureuse que je ne retournerais plus jamais chez moi et que je vais probablement mourir entre ses mains. Je suis effrayée, tout en m' efforcant de restant attentive a ses paroles et a ses démonstrations de mécanismes de torture sous peine de le contrarier et de devoir en patir. Il m' enméne avec lui dans un chateau délabré placé au centre d'un cimetiére sale, ancien et abandonné. Avec la plus grande surprise, j'y retrouve certains de mes amis. L' homme mysterieux me dit " si tu veux rester en vie, tu doit mettre a neuf le cimetiére de notre seigneur au plus vite " ( seigneur qui se trouve etre Mana Sama, mon idol , et leadeur de mon groupe de black métal japonais favoris ) Donc dans mon rêve je me pliais sous les envie de ce seigneur pour ne pas être abbatue, dans chaque tombe reposait le seigneur en question et je devais le remettre sous la terre avec l'aide de mes amis qui était là avant moi, je devais ranger, laver et remettre au bout du jour ce cimetiére le plus vite possible . . . Durant ce dur labeur le seigneur est venus me voir et me regardais avec jalousie et envie pour ensuite me laisser la liberté . . .
A 21 heure je me suis enfin reveillée et ca pour de bon, je ne me suis pas rendormie, heureusement, vu l'ampleur que prenais ces cauchemars dans mon esprit. Ca me travail encore et encore, d'autant plus que je sait que je n'ai pas réver de tout cela sans aucunes raisons . . . Ces cauchemards sont liés à ma vie actuelle ou plus précisément dit à ce que je peut ressentir au fond de mon coeur .
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Le manque d'amour . . .
La solitude . . .
La detresse affective . . .
La routine . . .
Mon subconsient à parler il veut sans doute me faire pousser le destin
dois je l' écouter ?
Commentaires
Salut, et oui une semaine recommence, je viens te souhaiter quelle se passe bien, sans trop de stresse, bonne journée, salutations chez toi, gros gros bisous, Stéphane
tu écris bien, bonne semaine biz